Hailisha Gudisa, Bedaso Kebede, Getachew Terefe et Dereje Tsegaye
Une étude a été réalisée pour évaluer l'effet de Trypanosome brucei rhodesiense sur des chèvres et des souris infectées expérimentalement afin de voir l'effet du parasite étudié et de déterminer la dose minimale à utiliser pour établir une infection chronique. Trois chèvres, identifiées par les numéros 908, 713 et 907, ont reçu respectivement 106, 5 × 104 et 103 parasites dans un volume de dose de 0,5 ml par voie intraveineuse. Toutes les chèvres infectées ont montré des signes cliniques de trypanosomose. La chèvre numéro 908 est morte le 55e jour après l'infection avec un PCV de 24 %. Au total, 11 souris blanches suisses ont également été infectées pour étudier l'effet du parasite étudié. Au total, 6 souris ont été infectées au premier tour (premier lot), avec 1 x 103 parasites dans un volume de dose de 0,3 ml, par voie ip. Toutes les souris sont mortes avant le 5e jour après l'infection. Français Il n'y a eu aucun changement significatif du PCV et du poids corporel chez presque toutes les souris infectées au cours de l'infection. Un total de 5 souris ont été infectées au cours de la deuxième série (second lot), avec 1 × 103 parasites dans un volume de dose de 0,2 ml, ip. La souris numéro 2 est morte après 72 heures après l'infection et sa parasitémie était de 5,01 × 108. Les souris numéros 1 et 4 ont été euthanasiées après 72 heures et 3 et 5 après 93 heures avec une parasitémie de 2,51 × 108, chacune. Il y a eu un changement statistiquement significatif du PCV au cours de l'infection. L'examen post mortem effectué sur ces souris ne révèle aucun changement inflammatoire ou pathologique visible sur les tissus et organes examinés (poumon, cœur, foie, rate, rein et organe intestinal). La période de survie du deuxième lot de souris était également inférieure à une semaine. Cette étude a indiqué que les souris blanches suisses sont plus affectées par le parasite de l'étude que les chèvres.