Mahendra Kumar Trivedi, Alice Branton, Dahryn Trivedi, Harish Shettigar, Mayank Gangwar et Snehasis Jana
Klebsiella pneumoniae (K. pneumoniae) est un agent pathogène nosocomial courant provoquant des infections des voies respiratoires (pneumoniae) et du sang. Les isolats multirésistants (MDR) d'infections à K. pneumoniae sont difficiles à traiter chez les patients dans les établissements de soins de santé. L'objectif de la présente étude était de déterminer l'impact du traitement biofield de M. Trivedi sur quatre isolats de laboratoire clinique MDR (LS) de K. pneumoniae (LS 2, LS 6, LS 7 et LS 14). Les échantillons ont été divisés en deux groupes, à savoir le groupe témoin et le groupe traité par biofield. Les groupes témoin et traité ont été analysés pour le profil de sensibilité aux antimicrobiens, la concentration minimale inhibitrice (CMI), l'étude biochimique et le numéro de biotype à l'aide du système MicroScan Walk-Away®. L'analyse a été effectuée le 10e jour après le traitement par biofield par rapport au groupe témoin. Français L'essai de sensibilité aux antimicrobiens a montré qu'il y avait une altération de 46,42 % de la sensibilité des antimicrobiens testés dans le groupe traité d'isolats de K. pneumoniae MDR. Les résultats de la CMI ont montré une altération de 30 % des antimicrobiens testés sur trente après traitement sur le terrain biologique dans les isolats cliniques de K. pneumoniae. Une augmentation de la sensibilité aux antimicrobiens et une diminution de la valeur de la CMI ont été signalées (dans LS 6) dans le cas de la pipéracilline/tazobactam et de la pipéracilline. L'étude biochimique a montré une modification de 15,15 % des réactions biochimiques par rapport au témoin. Un changement significatif du nombre de biotypes a été signalé dans les quatre isolats cliniques de K. pneumoniae MDR après traitement sur le terrain biologique par rapport au groupe témoin. Sur la base du nombre de biotypes modifié après le traitement du champ biologique, un nouvel organisme a été identifié comme étant Enterobacter aerogenes dans LS 2 et LS 14. Ces résultats suggèrent que le traitement du champ biologique a un effet significatif sur la modification de la sensibilité aux antimicrobiens, des valeurs de CMI, des réactions biochimiques et du nombre de biotypes des isolats multirésistants de K. pneumoniae.