Abstrait

Migration de charge en attosecondes dans des amas non liés de manière covalente

Sankhabrata Chandra

En général, la migration de charge peut se produire par corrélation et relaxation électron-électron pure ou par couplage avec le mouvement nucléaire. Nous devons comprendre les deux aspects de la migration de charge à travers la liaison non covalente pour exploiter tout le potentiel des clusters liés de manière non covalente. Dans ma présentation par affiche, je me suis concentré sur la migration de charge purement induite par la relaxation et la corrélation, la localisation de charge ultérieure et enfin sur la réactivité dirigée par la charge dans les clusters liés de manière non covalente. La migration de charge purement induite par la relaxation et la corrélation peut se produire à une échelle de temps de plusieurs centaines d'attosecondes et c'est pourquoi la dynamique chimique associée à cette migration de charge électronique pure peut être nommée « attochimie ». L'un des moyens efficaces d'élucider l'attochimie est l'ionisation verticale en surveillant une densité de charge électronique non stationnaire qui évolue dans le temps alors que la configuration nucléaire reste inchangée. Jusqu'à présent, l'attochimie de plusieurs clusters liés par des halogènes, des chalcogènes, des pnicogènes et des tétrels a été étudiée théoriquement par notre groupe. Dans mon poster, je présenterai différents aspects de la migration de charge, par exemple la corrélation électronique, la distance internucléaire, la force motrice de la migration de charge, l'effet vibrationnel et rotationnel et la réactivité dirigée par la charge. Pour sonder ce type de migration de charge purement induite par corrélation, je montrerai que la spectroscopie de génération d'harmoniques élevées (HHG) sera utile. La construction de la ligne de faisceau et du spectromètre HHG sera présentée. En utilisant la spectroscopie HHG, je montrerai comment l'empreinte digitale de la migration de charge attoseconde peut être trouvée. De plus, je présenterai la simulation numérique du spectre HHG en résolvant l'équation de Schrödinger 1D dépendante du temps

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié