Abstrait

Bioremédiation des eaux usées porcines et potentiel de biocarburant en utilisant Chlorella vulgaris, Chlamydomonas reinhardtii et Chlamydomonas debaryana

Rifat Hasan, Bo Zhang*, Lijun Wang et Abolghasem Shahbazi

Quatre souches commerciales de microalgues Chlorella vulgaris, Chlamydomonas reinhardtii, Scenedesmus dimorphus et Neochloris oleoabundans, ainsi qu'une souche locale de Chlamydomonas debaryana ont été étudiées dans le cadre de cette recherche. Il a été constaté que S. dimorphus et N. oleoabundans étaient incapables de se développer sur les eaux usées des porcs. Les conditions de culture optimales pour C. vulgaris et C. reinhardtii se sont avérées être respectivement (600 μ mol m-2s-1 et 25°C) et (300 μ mol m-2s-1 et 20°C). La cinétique de croissance a été déterminée à l'aide de la méthode de densité optique (DO) et de la cytométrie de flux. Dans les conditions de culture optimales, les taux de croissance spécifiques les plus élevés se sont avérés être de 1,336 jour-1 et 1,286 jour-1 pour C. vulgaris et C. reinhardtii, respectivement. L'efficacité d'élimination des nutriments des eaux usées est fonction de la croissance des microalgues. En comparant une souche locale de C. debaryana avec ces deux souches commerciales, les rendements finaux en biomasse et les teneurs en lipides étaient de 1,25 g/L et 15,2 % (du poids sec total des cellules), 0,86 g/L et 19,7 %, et 0,73 g/L et 21,7 % pour C. vulgaris, C. debaryana et C. reinhardtii, respectivement. De plus, les lipides de ces souches de microalgues contiennent une variété d'acides gras, qui conviennent à la production de biocarburants.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié