Abstrait

Résistance à médiation cellulaire sur la globuline anti-lymphocytaire de la récupération immunitaire

Ethan Devin

L'exhaustivité de la globuline lymphocytaire anti-souris (ALG) a été utilisée pour disséquer un système immunitaire qui est interfacé par des cellules lymphoïdes immunologiquement dédiées à l'inhibition évidente du neutralisant humoral. La globuline lymphocytaire anti-souris de lièvre a complètement inhibé la résistance qui peut être transmise de manière passive par des cellules lymphoïdes invulnérables à Listeria provenant de donneurs déjà infectés. Lorsque les donneurs suivants ont reçu une dose unique de 1,0 mg d'ALG, elle est restée active contre les cellules lymphoïdes résistantes transmises 24 heures plus tard ; cependant, les cellules saines dans les rates des donneurs n'ont pas pu être inactivées in situ par des doses considérablement plus élevées d'ALG administrées 24 heures avant la collecte de cellules. Selon cette découverte, l'immunité à la réinfection par Listeria n'a pas été inhibée par une dose unique d'ALG, ce qui montre que les cellules immunologiquement actives dans la rate ne sont pas sensibles à l'ALG administrée par voie intraveineuse. En revanche, un traitement prolongé à l'ALG a annulé une grande partie de la mémoire d'une maladie passée chez des animaux sains. À partir de cette preuve et d'autres, on a supposé que les cellules immunologiquement dédiées sont impuissantes face à l'attaque de l'ALG uniquement si elles se propagent. Lorsqu'elles sont disponibles pour être utilisées, elles entrent en contact à la fois avec l'ALG et avec les composants phagocytaires du système réticulo-endothélial qui semblent, de toute évidence, être responsables de leur annihilation.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié