Abstrait

Audit clinique sur la prise en charge de la pneumonie contractée dans la communauté dans l'unité de soins intensifs pédiatriques

Mohammed Dahy, Asmaa Hamed Shoriet et Eman Ahmed Abdel-Raouf Askar

Introduction : Les maladies respiratoires pédiatriques constituent une cause importante de morbidité, tant dans les pays en développement que dans les pays développés. La pneumonie communautaire (PC) désigne une infection pulmonaire causée par de multiples micro-organismes contractés en dehors du milieu hospitalier, entraînant une inflammation du tissu pulmonaire. Elle est généralement associée à de la fièvre et à des symptômes respiratoires tels que la toux et la tachypnée, mais les symptômes peuvent être non spécifiques chez les jeunes enfants. Des modifications radiographiques peuvent être utiles pour confirmer le diagnostic. Elle reste une cause importante de décès chez les enfants dans le monde entier, en particulier dans les pays en développement.
Patients et méthodes Audit clinique sur la prise en charge de la pneumonie communautaire (PAC) chez les enfants admis à l'unité de soins intensifs pédiatriques (USIP) dans la période du 1er janvier au 31 décembre 2016. Selon les lignes directrices sur la pneumonie communautaire (PAC) chez les nourrissons et les enfants recommandées par la Pediatric Infectious Disease Society et l'Infectious Diseases Society of America, août 2011.
Résultats : Notre étude a été menée sur des enfants atteints de pneumonie communautaire et admis à l'unité de soins intensifs pédiatriques (USIP) de l'hôpital universitaire pour enfants d'Assuit dans la période du 1er janvier au 31 décembre 2016. Notre étude a inclus soixante cas, dont 36 cas (60 %) et 24 cas (40 %). Leurs âges variaient de 3 mois à 17 ans. Cinquante-cinq cas sur soixante (91,7 %) présentaient des antécédents de fièvre tandis que quarante-cinq cas (75 %) présentaient des antécédents de toux. Français Selon les lignes directrices de l'OMS pour les critères de détresse respiratoire chez les enfants atteints de pneumonie, le signe le plus courant de détresse respiratoire était la mesure de l'oxymétrie de pouls < 90 % à l'air ambiant, comme c'était le cas dans cinquante-deux cas (86,7 %), suivi de la tachypnée dans quarante-quatre cas (73,3 %), de l'état mental altéré dans trente-cinq cas (58,3 %) et de la rétraction thoracique dans vingt-cinq cas (41,7 %), des grognements dans vingt-trois cas (38,3 %), de la dyspnée dans dix-huit cas (30 %). L'apnée était présente dans quinze cas (25 %) alors qu'aucun cas ne présentait d'évasement des narines.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié