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Abstrait

Association irbésartan/amlodipine versus irbésartan/cilnidipine pour l'atténuation de l'albuminurie chez les rats atteints de néphropathie diabétique induite par la streptozotocine

Minoru Satoh, Yuko Nishi, Hiroyuki Kadoya, Seiji Itano, Norio Komai, Tamaki Sasaki et Naoki Kashihara

Contexte : Une excrétion urinaire excessive d'albumine est associée à l'hypertension et à la néphropathie diabétique. Les inhibiteurs calciques (IC) utilisés comme antihypertenseurs suppriment cette albuminurie avec une efficacité variable. Bien que l'hypertension bénéficie de l'ajout d'inhibiteurs des récepteurs de l'angiotensine (ARA), on ne sait pas si les ARA modifient les effets des ICC sur l'albuminurie. Objectif : Cette étude a comparé l'efficacité de l'IRA combiné irbésartan avec l'IC amlodipine ou la cilnidipine sur l'albuminurie associée à la néphropathie diabétique expérimentale. Méthodes : Des rats Sprague-Dawley mâles atteints de diabète induit par la streptozotocine ont été traités par un ICC seul (amlodipine 2,0 mg/kg/j ou cilnidipine 2,0 mg/kg/j), un ARA seul (irbésartan 20,0 mg/kg/j) ou des combinaisons. Français Dans le protocole aigu, les changements dans les diamètres des artérioles afférentes et efférentes glomérulaires ont été examinés par un microscope vidéo à dispositif à couplage de charge après des doses uniques. Dans le protocole chronique, l'excrétion urinaire d'albumine, les espèces réactives de l'oxygène glomérulaire et l'état de la couche de surface endothéliale (ESL) ont été évalués après 2 semaines de traitement quotidien. Résultats : Dans le protocole aigu, la monothérapie par cilnidipine a provoqué une plus grande dilatation des artérioles efférentes glomérulaires que la monothérapie par amlodipine, tandis que la thérapie combinée avec l'irbésartan a induit une dilatation des artérioles efférentes comparable. Dans le protocole chronique, la monothérapie par cilnidipine a supprimé l'albuminurie, réduit le stress oxydatif glomérulaire et protégé l'ESL glomérulaire contre la dégénérescence dans une bien plus grande mesure que la monothérapie par amlodipine. Cependant, l'ajout d'irbésartan a réduit l'excrétion d'albumine, le stress oxydatif et la dégénérescence de l'ESL dans la même mesure dans les deux groupes. Conclusions : Bien que la cilnidipine soit plus efficace seule, les associations d’irbésartan avec la cilnidipine ou l’amlodipine sont tout aussi efficaces pour réduire l’albuminurie et d’autres séquelles pathologiques de la néphropathie diabétique expérimentale.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié