Abstrait

Dichotomie entre le rôle des chercheurs primitifs et contemporains dans la propagation de l'islam en terre yoruba : évaluation contradictoire

Abdulkabir Olaiya Suleiman

La croissance et le développement de l'Islam en pays Yoruba sont dus aux efforts déterminés de certains savants qui ont donné leur vie pour élargir l'enseignement fondamental de l'Islam jour et nuit. Entre-temps, une évaluation minutieuse a dichotomisé l'idéalisme des éminents savants d'hier et des savants acclamés d'aujourd'hui à la lumière de l'enseignement originel de l'Islam. Cet article reconnaît que les savants primitifs étaient au courant des instructions célestes données par Allah et qu'ils étaient très passionnés par elles. Leur conviction dans l'exercice de leur devoir se situe entre la foi et la crainte d'Allah, car ils ont perçu toutes les épreuves comme des conséquences provisoires. Au contraire, ce 21e siècle est témoin de nombreux actes calamiteux et ruineux engendrés par les savants d'aujourd'hui dans les zones nucléaires et les fissures du pays Yoruba. Le manuscrit met l'accent sur certains chefs religieux et soi-disant érudits qui se sont tournés vers l'agent de corruption, le fabricant d'argent rituel, le constructeur de monstres, l'entrepreneur d'une partie du corps humain et l'épine dorsale d'un homme de main politique. Une tentative est donc faite dans cet article de comparer les traits et les contributions des érudits primordiaux à la croissance et au développement de l'islam en pays yoruba avec la particularité agnostique, méchante, dissipée, débauchée et intolérable des érudits contemporains. L'article conclut que certains érudits contemporains ont soit mal interprété l'enseignement divin de l'islam, soit minimisé la gravité du péché et la colère sévère d'Allah comme une récompense de la dépravation.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié