Abstrait

Différents emplois, différentes perceptions du stress : une étude analytique sur le stress lié au travail

Gianfranco Tomei*, Carmina Sacco, Flavio Ciccolini, Nadia Nardone, Pasquale Ricci, Serafino Ricci, Grazia Giammichele, Luciana Fidanza, Teodorico Casale, Roberto Giubilati, Roberto Zefferino, FrancescoTomei, Carlo Monti

Contexte : Le déclin cognitif subjectif est considéré comme un facteur de risque de la maladie d'Alzheimer. Cependant, il peut également être associé à des variables non cognitives.

Objectifs : Cette étude analyse l’association entre le déclin cognitif subjectif (SCD) et les variables liées à la mémoire, à la santé mentale, à la morbidité, à la douleur, à la qualité de vie, à la solitude, au mode de vie et aux aspects sociaux ; analyse les prédicteurs du SCD.

Méthodes : Étude épidémiologique transversale d'un échantillon d'individus sélectionnés aléatoirement à partir d'un recensement municipal. Des entretiens téléphoniques ont été menés auprès de 1775 individus âgés de plus de 55 ans. Nous avons administré un questionnaire de 7 questions sur la drépanocytose et avons posé des questions sur la santé, le mode de vie et les variables sociales ; nous avons également administré une mesure de la santé mentale générale, le questionnaire de santé Goldberg et l'échelle de qualité de vie liée à la santé COOP/WONCA.

Résultats : Le SCD a montré des associations statistiquement significatives avec l'orientation dans le temps (r = 0,16), les variables de santé mentale (r = 0,41), la qualité de vie (r = 0,36), la solitude (Eta 2 = 0,04), le handicap (R = 0,05), la douleur (R 2 = 0,12), les difficultés auditives (R 2 = 0,03), les problèmes de vision (R = 0,05) et les maladies chroniques (R 2 = 0,04). Les variables orientation dans le temps, santé mentale, dépression, qualité du sommeil, multimorbidité et difficultés auditives ont été identifiées comme des prédicteurs du SCD (p < 0,001 ; R 2 = 0,30).

Conclusion : L’hétérogénéité des variables associées à la SCD doit être prise en compte pour différencier les individus à risque accru de développer la maladie d’Alzheimer de ceux chez qui la pathologie peut être expliquée par d’autres facteurs.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié