Indexé dans
  • Ouvrir la porte J
  • Clés académiques
  • RechercheBible
  • Infrastructure nationale des connaissances en Chine (CNKI)
  • Centre international pour l'agriculture et les biosciences (CABI)
  • RechercheRef
  • Université Hamdard
  • EBSCO AZ
  • OCLC - WorldCat
  • CABI texte intégral
  • Publions
  • Fondation genevoise pour la formation et la recherche médicales
  • Google Scholar
Partager cette page
Dépliant de journal
Flyer image

Abstrait

L'héparine non fractionnée nébulisée provoque-t-elle des modifications des rapports neutrophiles/lymphocytes dérivés dans la pneumopathie sévère liée à la COVID-19 ?

Cecily W. Thompson, Stacey-Ann M. Robinson, Jevonne J. McIntosh, Jodian S. Risden, Dwayne R. White, Keri S. Morgan, Tamara S. Beecher

Contexte : La COVID-19 est une maladie multisystémique causée par le virus SARS-CoV-2 avec des effets délétères et souvent mortels sur la fonction respiratoire. De nombreuses options thérapeutiques mais coûteuses ont été présentées. L'héparine non fractionnée est largement disponible et s'est avérée avoir des propriétés antivirales in vitro (en inhibant l'interaction de la protéine de pointe du coronavirus avec l'ACE2), ainsi que des effets anti-inflammatoires, mucolytiques et anticoagulants.

Objectif : Mener une étude de cohorte rétrospective sur des patients atteints de la COVID-19 admis dans un service d'isolement en Jamaïque afin de déterminer si l'héparine non fractionnée nébulisée administrée à des patients atteints d'une pneumopathie sévère due à la COVID-19 influencerait le rapport neutrophiles/lymphocytes dérivé (dNLR), un prédicteur de la gravité de l'infection qui était systématiquement mesuré.

Méthodes : Les participants à l'étude ont été hospitalisés pour une pneumopathie à COVID-19, confirmée par réaction en chaîne par polymérase, entre le 4 août 2021 et le 13 novembre 2021 et pris en charge par des anesthésistes. Tous avaient une SpO2 < 92 % à l'air ambiant à l'admission. Les patients ont reçu un protocole standard de gestion des soins COVID-19, conformément aux directives nationales de la Jamaïque. Dix-sept patients d'âge médian (fourchette) de 53 (35-67) ans ont reçu de l'héparine non fractionnée nébulisée (le groupe d'étude) ; et dix-sept patients d'âge médian (fourchette) de 53 (38-67) ans n'ont pas reçu d'héparine non fractionnée nébulisée (le groupe témoin). Les ratios neutrophiles/lymphocytes dérivés ont été observés quotidiennement sur une période de 15 jours et tabulés et représentés sous forme de graphiques à lignes empilées et de boîtes à moustaches pour comparer les changements de la variable entre les groupes.

Résultats : Les caractéristiques démographiques et la gravité de la maladie étaient comparables pour les deux groupes. Les graphiques à lignes empilées du dNLR dans chaque groupe ont indiqué une baisse plus rapide dans le groupe traité par héparine non fractionnée nébulisée que dans le groupe témoin. L'analyse univariée utilisant des diagrammes en boîte des changements en série du dNLR a montré des écarts interquartiles plus grands, des moustaches plus longues, des moyennes et des médianes plus élevées dans le groupe témoin que dans le groupe d'étude.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié