Pravasini Sethi
Plusieurs rapports épidémiologiques ont suggéré que les personnes atteintes de drépanocytose présentaient des taux plus faibles de contamination par le VIH par rapport à la plupart des autres. Cependant, les mécanismes à l’origine de ce risque réduit restent confus. Pour mieux comprendre ce risque réduit, Kelly et ses collègues ont mené une étude en deux phases. Tout d’abord, ils ont effectué une autre analyse factuelle des données issues d’une étude antérieure sur des personnes atteintes de maladies caractérisées par un faible taux de plaquettes rouges, notamment la drépanocytose. Ils ont découvert que les personnes atteintes de drépanocytose présentaient effectivement des taux plus faibles de contamination par le VIH.