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Abstrait

Résistance aux médicaments et caractéristiques moléculaires des isolats d'Escherichia coli associés à la pyélonéphrite aiguë

Xao-Li Cao, Xue-Jing Xu, Han Shen, Zhi-Feng Zhang, Ming-Zhe Ning et Jun-Hao Chen

La pyélonéphrite aiguë (PIA), l'une des formes les plus graves d'infections urinaires, peut entraîner une morbidité importante. Nous souhaitons étudier les sensibilités aux antimicrobiens et les caractéristiques génétiques des isolats d'Escherichia coli associés à la PIA.

Au total, 64 isolats d'E. coli APN ont été analysés pour les sensibilités aux antimicrobiens, les groupes phylogénétiques, les déterminants de résistance et de virulence, les réplicons plasmidiques, l'électrophorèse sur gel en champ pulsé (PFGE) et les types de séquences multi-locus (MLST).

Français Des pourcentages élevés de résistance (> 65,0 %) à l'ampicilline/sulbactam et à la lévofloxacine ont été observés, l'imipénème et la fosfomycine ont montré une bonne sensibilité in vitro (> 93,0 %). La plupart des souches appartenaient au groupe phylogénétique D (50,6 %) et B2 (21,6 %), les souches D étaient plus résistantes que les B2 aux céphalosporines testées (p0,05). Trente-six (56,3 %) gènes blaCTX-M, 3 (4,7 %) rmtB et 13 gènes de résistance aux quinolones à médiation plasmidique (PMQR) ont été identifiés. Le réplicon plasmidique IncF (54/64, 84,4 %) et les facteurs de virulence (VF) fimH (57/64, 89,1 %) étaient les plus répandus. La PFGE et la MLST ont montré une diversité génétique. La prévalence des gènes ompT, fdeC, PAI et usp était plus élevée parmi les souches B2 que parmi les souches D (P < 0,05). Des associations statistiques entre les résistances aux antimicrobiens et les FV ont été trouvées.

Cette étude fournit de nouvelles données sur l’épidémiologie moléculaire et la pathogenèse des isolats d’E. coli associés à l’APN.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié