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Abstrait

Œsophagite à éosinophiles et allergie à médiation IgE chez les enfants : IgE spécifiques par puce à ADN allergénique à base de composants

Francesca Rea, Leila Emma D'Urbano, Rosa Luciano, Marta Muraca, Luigi Dall'Oglio, Giovanni Cavagni et Paola De Angelis

Contexte : L'atopie est fréquente dans l'oesophagite à éosinophiles (EoE), mais le rôle relatif des allergènes aériens et alimentaires dans l'étiopathogenèse est encore incomplètement compris ; des réactions allergiques immédiates et retardées sont impliquées.

Objectif : Nous avons caractérisé le profil sIgE par un microarray allergénique à base de composants avec des allergènes hautement purifiés dans l'EoE en comparaison avec le test sIgE traditionnel et nous avons évalué une corrélation possible entre les caractéristiques cliniques et les résultats sIgE.

Méthodes : Chez 30 patients consécutifs diagnostiqués avec EoE, trois tests diagnostiques ont été réalisés : un test cutané par piqûre (SPT), un ImmunoCAP ï€ sIgE et une puce à ADN de composants allergènes appelée ImmunoCAP ISAC. Les puces ISAC couvrent 103 molécules allergènes recombinantes ou purifiées, dont des allergènes alimentaires, aériens et à réactivité croisée.

Résultats : Sur les 30 patients, 15, 16 et 17 étaient sensibilisés par SPT, ISAC et ImmunoCAP respectivement. Treize patients étaient multi-sensibilisés. Les trois méthodes diagnostiques étaient en bonne concordance pour tous les patients ; la méthode ISAC a apporté chez 8 patients des informations nouvelles, non révélées par les tests traditionnels, soit par la détection de panallergènes, soit par la détection d'allergènes déclencheurs non suspectés.

Conclusions : la détection d'IgEs par la puce à ADN ISAC a révélé que les allergènes aériens et les panallergènes sont plus fréquemment impliqués que les allergènes alimentaires dans notre population. Les données ISAC concordent avec les tests traditionnels et le diagnostic/provocation ouverte du médecin et ont révélé de nouvelles informations qui peuvent améliorer la compréhension de la pathogénèse et de la prise en charge de l'EoE.

Message clé : la puce allergène en phase solide immunitaire (ISAC) fournit de nouvelles informations sur les molécules à réactivité croisée et l'identification des panallergènes, qu'il n'est pas possible d'obtenir à partir d'un test traditionnel.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié