Ajay Kumar Upadhyay
La présente étude a été réalisée en menant une enquête auprès de vétérinaires en rapport avec le traitement des animaux. Pas moins de 392 vétérinaires ont été interrogés, dont 242 vétérinaires de terrain de l'Uttarakhand et 150 vétérinaires universitaires de l'Uttarakhand, du Pendjab et de l'Uttar Pradesh. Sur les 392 vétérinaires, 274 étaient des hommes et 118 des femmes. Tous les répondants pris en compte pour l'analyse avaient des contacts réguliers avec les animaux et travaillaient en moyenne 8 heures par jour. La majorité des vétérinaires ont signalé une sorte de blessure au cours des cinq dernières années. Sur un total de 392 répondants, 5,1 % (20) n'ont signalé aucune blessure, 47,5 % (186) ont eu 1 à 5 blessures, 32,1 % (126) ont subi 5 à 10 blessures et 15,3 % (60) ont eu plus de 10 blessures au cours des 5 dernières années. Français De nombreuses personnes ont signalé plus d'un type de blessure. La personne a montré 1 ou plusieurs types de blessures. Les morsures (31,8 %), les égratignures (65,1 %), les coups de pied (62,8 %), les blessures par la corne (14 %), les piqûres d'aiguille (89,2 %), les blessures dues à la chute/au soulèvement d'animaux/au déplacement d'équipements lourds (61,3 %) et les fractures (3,8 %) étaient des blessures physiques fréquemment signalées. La proportion de blessures signalées par les femmes était plus élevée que par les hommes. La majorité des vétérinaires (74 %) ont soigné eux-mêmes ces blessures physiques. 6,5 % des personnes ont été hospitalisées en raison de blessures telles qu'une fracture, une entorse et une blessure grave. Au total, 19,1 % (75/392) des vétérinaires ont participé à la prise d'examens radiographiques. La plupart des vétérinaires prenant des radiographies étaient des vétérinaires universitaires. 86,7 % utilisaient un tablier en plomb (61,3 %), mais une grande proportion n'utilisait pas de gants en plomb, de manchons en plomb, de lunettes en plomb et de moniteur. La proportion d’hommes qui passent des radiographies (69,3 %) et utilisent des équipements de protection est supérieure à celle des femmes (30,7 %).