Abstrait

Des facilitateurs pour améliorer la prestation de services aux personnes sans-abri atteintes de démence

Vandana Bhagat

Le sans-abrisme et les troubles cognitifs, y compris la démence, sont étroitement liés (1-7). Les troubles cognitifs sont nettement plus fréquents chez les sans-abri et sont généralement acquis plutôt que développementaux (8, 9). Les personnes sans-abri risquent de développer une démence en raison de plusieurs facteurs tels qu’une mauvaise alimentation, le tabagisme, la consommation excessive d’alcool, le manque de logement sûr et la dépression (10). Dans le même temps, les personnes atteintes de troubles cognitifs risquent de devenir sans-abri en raison de l’isolement social, d’une mauvaise coordination du réseau de soutien et d’un niveau élevé de stigmatisation au sein du système de services et de la société (7, 11). En raison des besoins complexes en matière de santé physique et mentale et du comportement difficile de la population sans-abri, les prestataires de services doivent adopter une approche spécialisée pour s’engager auprès de la communauté des sans-abri (12).

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié