Abstrait

Réponse du maïs (Zea Mays) au stress hydrique à différents stades de croissance

Agyare, WA, Freduah BS, Ofori, E., Kpongor, DS et Antwi, BO

L'eau devient rare dans les zones arides, sujettes à la sécheresse et même à fortes précipitations en raison de la variabilité des précipitations et de leur répartition inégale résultant du changement climatique. Par conséquent, une gestion durable et innovante des ressources en eau agricole est nécessaire de toute urgence. Cette étude a été entreprise pour déterminer l'efficacité de la gestion de l'eau dans la culture du maïs irrigué dans des conditions d'eau rares sous les tropiques. L'étude a consisté à planter du maïs dans le champ pour évaluer la croissance et la réponse du rendement au stress hydrique à différents stades de croissance. Le modèle de culture DSSATv4 a également été utilisé pour évaluer la réponse du rendement du maïs au stress hydrique à différents stades de croissance (c.-à-d. plantule, hauteur du genou, floraison et remplissage des grains) en imposant un stress hydrique pendant une période de 14 jours. Un dispositif en blocs randomisés complets avec quatre répétitions a été utilisé pour l'expérience sur le terrain. L'effet du stress hydrique à ces stades de développement sur la hauteur de la plante, la circonférence, la surface foliaire, le nombre de grains et le rendement en grains a été évalué. Les résultats ont été analysés statistiquement à l'aide d'une analyse de variance (ANOVA) à un intervalle de confiance de 95 %. Les résultats de l'étude ont montré que la plupart des paramètres végétatifs et de rendement étaient affectés à des degrés divers par les déficits hydriques dans le profil du sol au cours des différentes étapes suivies. Le rendement le plus élevé a été observé dans les parcelles non stressées qui ont reçu de l'eau tout au long de la période de croissance du maïs. Un stress hydrique de courte durée (14 jours) pendant la formation des panicules et la formation des soies a provoqué la plus forte réduction du rendement en grains, soit 5 et 27 % pour le modèle et les expériences sur le terrain respectivement.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié