Nino Abesadze
Objectif de l'article : Le but du présent article est d'identifier les méthodes d'évaluation statistique de l'intégration économique de la Géorgie avec le monde et de calculer les méthodes d'un coefficient d'intégration sur l'exemple de la Géorgie.
Français : Méthodologie/méthodes : Nous avons mené l'étude en utilisant les méthodes d'enquête statistique, de regroupement et d'analyse : méthodes de valeur relative, de valeur moyenne, de séries chronologiques et d'introduction de variations statistiques. La tendance a été identifiée en utilisant des méthodes simples, telles que l'augmentation absolue moyenne et le taux de croissance annuel moyen et la fonction linéaire comme méthode analytique. Objectif scientifique : L'objectif scientifique de l'étude est de déterminer et de calculer le coefficient d'intégration de la Géorgie à l'économie mondiale, comme la valeur arithmétique moyenne agrégée totale des valeurs moyennes des pourcentages des valeurs du coefficient d'intégration dans le produit intérieur brut pour chaque facteur calculé en dynamique.
Français : Résultats : Il a été constaté que le coefficient d'intégration de la Géorgie à l'économie mondiale était de 20,2 % au cours de la période considérée. Si l'on considère que la valeur en pourcentage de ce coefficient peut varier de 0 à 100. Il convient de noter que nous avons évalué le niveau d'intégration des pays en utilisant une échelle à trois niveaux basée sur un regroupement à intervalles égaux : I) Faible (0-33 %) ; II) Moyen (33,3-66,6 %) ; et III) Élevé (66,6-100 %). Comme le coefficient d'intégration de la Géorgie à l'économie mondiale en 2008-2014 était de 20,2 %, cela signifie que la Géorgie n'a réalisé que 20,2 % de son potentiel en matière de relations économiques extérieures au cours de cette période. Conclusions : En général, il convient de noter que le degré d'intégration de la Géorgie à l'économie mondiale est assez faible et s'est détérioré depuis 2003-2008. Selon nos calculs, il a diminué de 1,1 %. Il s’avère que la réduction de l’indice d’intégration est principalement due à la part réduite des investissements dans le PIB.