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Abstrait

Identification d'un panel d'élite de germoplasmes de porte-greffes de pommier présentant une résistance racinaire contrastée à Pythium ultimum

Yanmin Zhu, Jingxian Zhao et Zhe Zhou

La maladie de la replantation du pommier (MRP), provoquée par un complexe pathogène transmis par le sol, est un obstacle majeur à l'établissement d'un verger de pommiers économiquement viable sur les sites de replantation. La méthode de contrôle prédominante est la fumigation chimique du sol du verger avant la plantation, qui est coûteuse et comporte des préoccupations environnementales et réglementaires. Pour maximiser l'exploitation de la résistance de l'hôte pour la gestion de la MRP, des phénotypes de résistance de haute qualité dans les racines des pommiers à l'infection par le pathogène de la MRP sont nécessaires pour élucider les mécanismes de résistance sous-jacents. Dans cette étude, les réponses de résistance des racines à l'infection par Pythium ultimum ont été systématiquement évaluées parmi la progéniture F1 'Ottawa 3' × 'Robusta 5' (O3R5). La micropropagation basée sur la culture tissulaire a été utilisée pour générer des plants de pommier génétiquement définis et d'âge équivalent pour des essais d'infection répétés. Une large gamme de taux de survie des plantes a été observée, avec moins de 30 % pour les génotypes sensibles et plus de 80 % pour les génotypes résistants. Les niveaux de réduction de la biomasse des racines et des pousses parmi les plantes survivantes variaient considérablement entre les génotypes les plus résistants et les plus sensibles. Des schémas de nécrose contrastés ont été démontrés le long des racines infectées entre les génotypes résistants et sensibles à l'aide d'un nouveau pot en verre pour une observation microscopique continue. Une nécrose rapide s'est produite sur l'ensemble du système racinaire dans les 24 heures pour les génotypes sensibles ; en revanche, une nécrose racinaire manifestement dissuadée a été observée pour les génotypes résistants. Une frontière bien définie séparant les tissus racinaires sains et nécrotiques était souvent accompagnée par les racines infectées des génotypes résistants, tandis que la croissance abondante des hyphes de P. ultimum était spécifiquement associée aux racines infectées des génotypes sensibles. Les résultats de cette étude représentent le premier effort complet et détaillé entrepris pour définir les réponses de résistance spécifiques au génotype dans les racines de pommier lorsqu'elles sont confrontées à un pathogène transmis par le sol.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié