Nole T, Nouboudem Armel T, Rene J et Fero M
La recherche dans certains pays d’Afrique subsaharienne n’apporte pas de solutions durables aux problèmes vitaux de la faim et de la pauvreté, du sous-développement, des maladies, de la mauvaise éducation et de l’agriculture rudimentaire. Par exemple, dans les pays subsahariens, le taux de malnutrition est passé de 33,3% en 1990-1992 à 23,8% en 2012-2014. Cette baisse a été de courte durée et le nombre de personnes sous-alimentées a de nouveau augmenté. La dépendance totale aux ressources naturelles est la principale cause de la perte de biodiversité. Le manque de technologies avancées et les phénomènes naturels fréquents comme la sécheresse ralentissent l’essor économique en Afrique. La recherche peut désormais être l’espoir d’une économie africaine florissante et d’une augmentation progressive du niveau de vie. C’est un défi à relever en commençant à exploiter de nombreux résultats de thèses et d’articles. L’application de ces résultats peut être une voie de sortie de la faim et de l’extrême pauvreté. De nombreuses activités actuellement menées en Afrique comprennent l’agriculture non durable, l’exploitation minière, l’exportation de bois et l’économie de subsistance. Une bonne gestion de ces activités peut être un moyen de soutenir véritablement le développement.