Abstrait

Température de surface terrestre avec classes de couverture terrestre dans les données ASTER et Landsat

Mukesh Singh Boori*, Vit Vozenālek, Heiko Balzter et Komal Choudhary

La température de surface terrestre (LST) à partir de données satellitaires est une tâche difficile en raison de l'absorption atmosphérique et de la diversification de l'émissivité de la surface terrestre. L'analyse montre que la température de surface terrestre est influencée par la teneur en eau ou l'état de la végétation. La combinaison des logiciels HDF Explorer et ArcGIS a été utile pour traiter automatiquement les informations de latitude, de longitude et de température de luminosité (BT) des pixels des fichiers d'imagerie ASTER HDF et Landsat. Les zones forestières avec plus d'humidité et de masse d'eau ont montré une température plus faible que les agglomérations. La zone urbaine fait référence au phénomène de températures atmosphériques et de surface plus élevées se produisant dans les zones urbaines que dans les zones de végétation environnantes. Une table de recherche des anomalies de température effectives est construite sur la base de la BT pour résoudre les incohérences entre la variation infrarouge et BT. Ici, les données ASTER et Landsat montrent un comportement similaire pour toutes les classes de température de couverture terrestre. Les résultats peuvent être référencés dans des zones similaires du monde pour la récupération de la LST ou la recherche sur les processus de surface terrestre, en particulier dans des conditions météorologiques extrêmes. Ainsi, l'atténuation des effets des températures élevées via la configuration des espaces verts et la conception durable des environnements urbains est devenue un problème de plus en plus préoccupant dans le cadre du changement climatique.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié