Pâmela Gama de Freitas1, Helaine Cristina da Costa Vieira1, Natália de Oliveira1, Camila Abreu Carvalho dos Santos1, Idiberto José Zotarelli Filho2*, Leandro Moreira Tempest1,2 et Patrícia Garani Fernandes1,2
Contexte : Les maladies parodontales nécrosantes atteignent rapidement et agressivement les tissus parodontaux et sont multifactorielles et complexes. La gonorrhée ulcéreuse nécrosante (GUN), la parodontite nécrosante (PUN) et la stomatite ulcéreuse nécrosante (EUN) sont les trois principales modalités des maladies parodontales nécrosantes.
Objectif : était de rapporter à travers une revue de la littérature les maladies parodontales nécrosantes, en soulignant sa manifestation, son diagnostic et les moyens de traitements plus conservateurs, réduisant ainsi les séquelles causées par la maladie.
Méthodes : Des études expérimentales et cliniques ont été incluses (rapports de cas, essais rétrospectifs, prospectifs et randomisés) avec une analyse qualitative et/ou quantitative. Un total de 30 articles ont été trouvés portant sur les maladies parodontales, les maladies parodontales nécrosantes, la santé bucco-dentaire, le diabète sucré . Un total de 21 articles ont été évalués dans leur intégralité, et 13 ont été inclus et discutés dans cette étude.
Conclusion : Il est conclu que les maladies parodontales nécrosantes sont des maladies peu fréquentes, mais elles sont considérées comme la forme la plus agressive des maladies parodontales. Le biofilm en est la cause principale, mais il faut tenir compte des facteurs prédisposants pour avoir un meilleur diagnostic.