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Abstrait

Aucune détection de risque potentiel de cancer pour les neurones dopaminergiques dérivés de cellules souches virales libres reprogrammées à partir de fibroblastes de souris adultes

Liu G

Objectif : La thérapie de remplacement des cellules souches par la reprogrammation des cellules somatiques est une thérapie prospective importante pour les maladies neurodégénératives et la médecine personnalisée. Comme les gènes de reprogrammation porteurs de virus entraînent un risque considérable de formation de tumeurs, les approches actuelles tendent à remplacer le modèle viral par un système non viral. Cependant, il existe encore de grandes inquiétudes concernant les propriétés oncogènes de ces gènes de reprogrammation. À l'heure actuelle, aucune preuve directe ne permet de vérifier que les systèmes non viraux n'influencent pas l'intégration de l'ADN génomique et les événements de mutagenèse dans les produits finaux après reprogrammation.
Méthodes : Nous avons évalué le risque potentiel de cancer des neurones dopaminergiques dérivés de cellules souches reprogrammées en utilisant un vecteur non viral unique contenant quatre gènes de reprogrammation. Les neurones dopaminergiques dérivés de cellules souches reprogrammés étaient les produits finaux après 50 jours de culture cellulaire à partir de fibroblastes de souris adultes. Après 6 mois de culture, ces cellules ont été évaluées pour le risque de cancer.
Résultats : Les évaluations globales du risque de cancer ont d'abord été examinées à l'aide de plusieurs biomarqueurs de cellules souches. Nous n'avons détecté aucune surexpression de ces biomarqueurs. De plus, nous avons évalué si les facteurs de neurotransmission les plus importants étaient exprimés ou non après 6 mois de culture cellulaire de masse. Nos résultats ont déterminé que seule une expression génique robuste de la tyrosine hydroxylase (TH), en tant qu'enzyme limitant la vitesse de synthèse de la dopamine, a été détectée. De plus, le produit final des neurones dopaminergiques TH-positifs a été confirmé par séquençage de l'ADN génomique TH. Nos données suggèrent qu'aucun des quatre gènes de reprogrammation ne s'est intégré dans l'ADN génomique de la cellule hôte et qu'aucun autre événement de mutagenèse ne s'est produit après le séquençage génique de l'ADN génomique TH lié aux 13 exons codants complets avec des régions partielles non traduites à deux extrémités.
Conclusion : Les neurones dopaminergiques dérivés de fibroblastes de souris adultes reprogrammés se sont avérés être une technologie et une approche sûres comme thérapie potentielle pour les maladies neurodégénératives.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié