Abstrait

Socialisation politique des filles à travers l'éducation dans une université indienne : étude de cas de l'université d'Utkal, Odisha

Smita Nayak

Plus de six décennies après l'indépendance, l'éducation des femmes en Inde est restée largement négligée. L'éducation, facteur de modernisation et d'autonomisation, doit recevoir l'attention et l'attention qui lui sont dues. Il ne suffit pas d'élaborer une bonne politique. Il est plus important de veiller à ce que cette politique soit mise en œuvre. Dans notre pays, il y a eu un grand échec dans la mise en place de politiques et de programmes sur l'éducation des femmes. De plus, les établissements d'enseignement contribuent à construire la personnalité et à façonner les orientations, les idées et les croyances des individus. À cet égard, les établissements d'enseignement supérieur ont une responsabilité particulière. Une socialisation saine et innovante dans les collèges et les universités préparerait mieux les femmes à affronter avec succès les défis de la vie et à jouer leur rôle dans la société ainsi que dans l'État. L'objectif principal de cette étude est de découvrir dans quelle mesure les étudiantes des établissements d'enseignement supérieur apprennent à faire face aux différents défis de la vie et à jouer avec succès les rôles qui leur sont assignés à différentes étapes de la vie. Cette socialisation les aide-t-elle à faire les bons choix concernant leur carrière universitaire, leur vie professionnelle et leur partenaire de vie ? Contribue-t-elle à leur efficacité sociale et politique ? L'étude a mis en lumière ces aspects. La méthodologie appliquée pour l'étude est à la fois empirique et analytique. L'étude a été menée à l'Université Utkal, Vani Vihar, qui a été créée en 1943. Elle comprend 27 départements de troisième cycle et 16 cours parrainés. L'effectif étudiant est d'environ 3 000, dont 1 208 étudiantes. Au fil des ans, le nombre d'étudiantes a considérablement augmenté. Cela indique un intérêt croissant de la société pour l'éducation des femmes. Contrairement au niveau inférieur, le taux d'abandon des étudiantes à l'université est assez faible. C'est également une évolution positive pour l'éducation des femmes. L'échantillon se compose de 120 filles sélectionnées dans différents départements de troisième cycle de l'université. Les données ont été collectées au moyen d'un questionnaire.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié