Indexé dans
  • Ouvrir la porte J
  • Genamics JournalSeek
  • Clés académiques
  • JournalTOCs
  • RechercheBible
  • Répertoire des périodiques d'Ulrich
  • Accès à la recherche mondiale en ligne sur l'agriculture (AGORA)
  • Bibliothèque des revues électroniques
  • RechercheRef
  • Université Hamdard
  • EBSCO AZ
  • OCLC - WorldCat
  • Catalogue en ligne SWB
  • Bibliothèque virtuelle de biologie (vifabio)
  • Publions
  • MIAR
  • Fondation genevoise pour la formation et la recherche médicales
  • Pub européen
  • Google Scholar
Partager cette page
Dépliant de journal
Flyer image

Abstrait

Prévalence des infections parasitaires intestinales chez les femmes de ménage à Abidjan, en Côte d'Ivoire

David NA Aka, Gisèle C Kouadio-Yapo, Serge Pacôme G Dou, Dibert K Zika, Serge Pacôme K Loukou, Constante Léa Karidioula, Jean Ouhon, Aka Assoumou et Koffi D Adoubryn

De nombreux types d'helminthes et de protozoaires intestinaux infectent l'homme dans le monde. En raison de conditions sanitaires inadéquates, les infections entéroparasitaires constituent un grave problème de santé publique en Côte d'Ivoire, en particulier chez les nourrissons. Les populations à faibles revenus, comme les filles ou les bonnes de famille, qui cumulent un taux d'analphabétisme important, sont particulièrement vulnérables.

Objectif : Cette étude a été menée pour déterminer la prévalence des parasites intestinaux chez les bonnes à Abidjan, en Côte d'Ivoire.

Matériels et méthodes : Une étude transversale communautaire a été menée auprès de 88 ménages d'une zone résidentielle d'Abidjan, principale ville de Côte d'Ivoire. Les données des employées de maison ont été collectées à l'aide d'un questionnaire. Les selles de ces employées ont été collectées et examinées à la recherche de parasites intestinaux à l'aide d'un frottis simple et de la technique de Ritchie.

Résultats : La prévalence globale des infections parasitaires intestinales était de 19,3 %. Les protozoaires (14,7 %) étaient plus fréquemment retrouvés que les helminthes (4,5 %). Les femmes de ménage étaient principalement infectées par les parasites à transmission fécale-orale, avec Entamoeba coli (13,6 %). Necator americanus (2,3 %) étaient les géohelminthes fréquemment rencontrés. Aucune infection multiple n'a été constatée.

Conclusion : Ces résultats interpellent les autorités sur la nécessité d’améliorer les mauvaises conditions sanitaires des domestiques, révélées par l’importance de leurs infestations.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié