Abstrait

Revisiter une vieille hypothèse : devrions-nous restreindre notre recherche d’un lien possible entre les cycles de taches solaires et les épidémies d’infections virales principalement aux pays nordiques ?

Seyed Alireza Mortazavi, Joseph J Bevelacqua, Abdollah Jafarzadeh, Seyed Mohammad Javad Mortazavi, James S Welsh*

Ce commentaire exprime nos points de vue sur la relation possible entre les cycles d'activité solaire et les épidémies virales, notamment la pandémie de grippe espagnole de 1918 et la récente pandémie de COVID-19. Nous discutons de la question de savoir si la diminution de l'activité solaire associée aux minima solaires (lorsque le nombre de taches solaires diminue) peut influencer les épidémies d'origine virale. Le champ géomagnétique de la Terre dévie les particules chargées électriquement et les canalise vers les pôles magnétiques des hémisphères nord et sud. Compte tenu de cette considération, nous discutons également de la question de savoir si la recherche devrait se concentrer sur les liens possibles entre les cycles solaires et les épidémies virales, principalement dans les pays nordiques.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié