Paul V Zimba*, Casey C Grimm
L'industrie du poisson-chat est fière d'empêcher la vente par inadvertance de poissons à saveur désagréable. En règle générale, plusieurs poissons sont testés au cours de plusieurs semaines avant la récolte dans l'étang pour confirmer la bonne qualité gustative du poisson. Nous avons recueilli plusieurs ensembles de données de concentrations de saveur désagréable mesurées analytiquement chez le poisson-chat pour évaluer le type de distribution (paramétrique/non normale). Des mesures coïncidentes de la teneur en matières grasses ont été effectuées sur trois sous-sections de chaque filet. Ces données ont ensuite été utilisées pour modéliser le nombre de poissons requis pour détecter une saveur désagréable dans des populations mixtes contenant des poissons à saveur désagréable et à saveur désagréable. Chez les poissons collectés dans le même étang, les concentrations de saveur désagréable n'étaient généralement pas distribuées normalement, ce qui nécessitait des procédures statistiques spécialisées. Même avec la transformation logarithmique, les données violaient toujours les hypothèses de normalité. Nous avons utilisé une approche non paramétrique, en utilisant des échantillons de poissons ordonnés, puis échantillonnés au hasard 1000 fois, pour déterminer le nombre de poissons nécessaire pour détecter une saveur désagréable. Un échantillon de 40 poissons était nécessaire pour détecter une mauvaise saveur lorsque la population était presque entièrement de bonne saveur (97 %) et < 11 poissons lorsque les populations contenaient > 20 % de poissons de mauvaise saveur. Un échantillon de six poissons dans une population mixte s'est avéré efficace pour identifier la présence de mauvaises saveurs dans 60 % des étangs présentant une mauvaise saveur. L'échantillonnage d'un plus grand nombre de poissons moins de fois peut permettre d'identifier plus précisément les étangs contenant des populations de poissons à saveur mixte que la procédure d'échantillonnage actuelle.