Abstrait

Stress et thérapie par l'information chez les jeunes couples infertiles

Caterina Visco

Après un an de rapports sexuels fréquents non protégés, l'infertilité se définit comme l'incapacité de concevoir. Cette maladie est également liée à diverses pressions sociales, psychologiques, physiques et économiques. L'infertilité touche un couple sur cinq, et le nombre de couples infertiles augmente de deux millions chaque année. L'infertilité touche entre 10 et 15 % des couples aux États-Unis, et environ 20 % de la population occidentale. Les technologies de procréation assistée (PMA), très répandues chez ces couples, visent à guérir l'infertilité en utilisant des techniques qui contournent la fécondation naturelle. Chez ces couples, la thérapie de l'infertilité s'accompagne généralement de beaucoup de stress. Selon les études, les femmes qui suivent une PMA sont plus susceptibles que la population générale de ressentir de l'inquiétude, du stress et de la dépression. Les femmes, en revanche, sont plus sensibles au stress que les hommes. L'infertilité et les maladies psychiatriques ont un lien étroit. Le « théorème du stress » repose sur l'idée qu'un stress élevé précède et provoque l'infertilité. Gallinelli a découvert un lien étroit entre le stress et l’infertilité dans ses recherches. Selon ses conclusions, les couples infertiles présentaient des taux sanguins de cortisol et d’hormone corticotrope (CRH) plus élevés que la population générale. D’autres recherches ont souligné l’impact néfaste d’un stress accru sur les taux de réussite des techniques de procréation assistée et des thérapies de reproduction.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié