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Survie et facteurs prédictifs de mortalité chez les adultes sous traitement antirétroviral dans certains hôpitaux publics sélectionnés à Harar, dans l'est de l'Éthiopie

Tesfaye Digaffe, Berhanu Seyoum et Lamessa Oljirra

Dans les pays pauvres en ressources, l'accès au TARV s'est amélioré au cours des dernières années et les taux de mortalité parmi les patients traités ont considérablement diminué. Cependant, par rapport aux patients des pays à revenu élevé, les patients des pays pauvres en ressources présentent un risque plus élevé de décès dans les premiers mois de traitement. Pour éviter ces décès précoces, il est important d'identifier les facteurs de risque possibles et les causes potentielles de décès. Une étude de cohorte rétrospective a été menée auprès d'une cohorte de 655 personnes vivant avec le VIH/SIDA (PVVIH) sous TARV dans trois hôpitaux publics sélectionnés à Harar, dans l'est de l'Éthiopie. Sur le total des participants PVVIH, 438 (66,9 %) étaient des femmes et l'âge médian des patients était de 33 ans. La période médiane de suivi était de 38 mois. Au cours de la période de suivi, 74 patients (11,4 %) sont décédés. La cohorte a été suivie pendant 1913 années-personnes d'observation. Le taux de mortalité total au cours de la période de suivi était de 3,9 pour 100 années-personnes. Français La plupart des décès (n = 36, 49 %) sont survenus au cours des 3 premiers mois suivant le début du traitement antirétroviral. Trois facteurs de base ont pu être identifiés indépendamment : stade clinique III et IV de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) (rapport de risque (HR) = 2,13), numération des CD4 inférieure à 50 cellules/µl (HR = 2,34), non-prise du traitement prophylactique au cotrimoxazole (CPT) de base (HR = 2,46). Malgré l'optimisation de l'administration du traitement antirétroviral en Éthiopie, une proportion de décès précoces chez les patients atteints d'une maladie très avancée ne sont probablement pas évitables avec le traitement antirétroviral. Cela peut nécessiter une étude approfondie et détaillée dans les pays pauvres en ressources. Ainsi, une question plus fondamentale et le plus grand défi est la nécessité d'un diagnostic précoce du VIH et de la fourniture de soins longitudinaux appropriés du VIH avant l'éligibilité au traitement antirétroviral.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié