Oje Obinna A, Ubani Chibuike S et Onwurah INE
Français Cette étude visait à déterminer l'effet de la concentration variable de pollution par le pétrole brut sur les macronutriments du sol. Divers macronutriments (tels que la concentration d'ammonium dans le sol, la concentration de nitrate dans le sol et le phosphore disponible), le carbone organique oxydable et les hydrocarbures pétroliers totaux ont été déterminés. Le résultat a révélé qu'à mesure que le temps augmente, le carbone oxydable, qui est également une fonction de la matière organique, diminue, ce qui est le résultat de la conversion du carbone en oxyde de carbone (IV) au cours du métabolisme cellulaire. Cette diminution a montré qu'il y avait une augmentation de l'activité de qui conduit à la décomposition des composants du carbone dans le sol. La détermination de la concentration en phosphate du sol n'a montré aucun schéma d'augmentation ou de diminution, ce qui montre que l'augmentation de la concentration en pétrole brut n'a pas affecté de manière significative la concentration en phosphate dans le sol. La concentration d'ammonium dans le sol a augmenté de la 24e à la 168e heure mais a diminué avant la fin de l'expérience. Cette augmentation pourrait être attribuée à la capacité d'Azotobacter vinelandii à fixer l'azote en tant que responsabilité innée, tandis que Pseudomonas sp. dont on sait qu'il contient des gènes fixateurs d'azote. Les résultats ont également montré qu'il y a une augmentation constante de la concentration en nitrates du sol, qui est affectée par l'augmentation de la concentration du polluant (pétrole brut). Cette étude a montré que le consortium de ces organismes peut être utilisé comme biofertilisant ainsi qu'en bioremédiation.