Larry L Mweetwa, Kabo O. Tshiamo, Paul Chukwuemeka Adiukwu, Thatoyaone JKenaope, Emmanuel Tope Oluwabusola
Contexte : La principale préoccupation de la pharmacovigilance (PV) est de renforcer les soins aux patients et d’améliorer la sécurité publique en termes d’utilisation efficace des médicaments. L’objectif de cette recherche était d’analyser l’impact des systèmes de pharmacovigilance existants dans la région africaine et son impact significatif sur les effets indésirables des médicaments (EIM) signalés par les médecins, les pharmaciens et les infirmières travaillant dans les hôpitaux fédéraux et étatiques au Nigéria.
Méthodes : Le plan de recherche choisi pour cette étude est construit sur une conception quantitative basée sur un questionnaire qui a aidé à déterminer la corrélation entre la formation des professionnels de la santé (HCP) et la sensibilisation aux incidences de déclaration des effets indésirables des médicaments dans différents établissements hospitaliers du gouvernement fédéral du Nigéria.
Résultats : Le test d'indépendance du chi carré de Pearson avec df = 2 donne un chi carré = 101,4 (n = 318, p < 0,05, phi = 0,565), affirmant qu'il existe une relation statistiquement significative entre la connaissance du système de déclaration des effets indésirables et les professions.
Conclusion : Les résultats ont révélé qu’une majorité de pharmaciens et de médecins possédaient une bonne connaissance de la PV, tandis que la majorité des infirmières avaient une faible connaissance de la PV.